Titre du blog : MURMURE D'AMOUR : A Toi A Moi A Notre Amour
Auteur : Eyra_Murmure
Date de création : 28-11-2008
Auteur : Eyra_Murmure
Date de création : 28-11-2008
posté le 08-02-2009 à 18:10:02
Celle que j’ai choisie...
J’avais vingt ans en quarante deux
On libérait l’Europe de la barbarie nazie
Ouvrez les yeux et regardez mieux
Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ?
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Votre guerre n’est pas différente de la mienne
Tâchez juste de ne pas vous tromper d’ennemi
J’avais vingt ans en cinquante six
Lorsque chez la Louve on bâtissait un pays
Nous voilà un demi-siècle plus tard,
Et je constate que vous n’avez pas compris
Ce que voulaient ces vénérables vieillards
Lorsqu’ils mettaient leur idéal par écrit
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Votre époque n’est pas différente de la mienne
Vous regardez toujours l’étranger avec mépris
J’avais vingt ans en soixante-huit
Lorsque je fis trembler Paris
De ma jeunesse et de cette rage induite
Par ceux qui gouvernaient le pays
On voulait la liberté de pouvoir enfin vivre
La République a tôt fait de museler
Celui qui par amour de l’autre vibre
Afin que ses valeurs ne viennent à basculer
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos morales ne sont pas différentes de la mienne
Mais vous continuez à vous créer des ennuis
J’avais vingt ans en quatre-vingt-neuf
Lorsqu’on lézarda la honte du mur
Pour un avenir radieux et neuf
Pour que les peuples connaissent l’amour
Finies les peurs de la bombe
L’humanité pouvait respirer
Mais des sournois agissaient dans l’ombre
Pour la terreur partout distiller
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos peurs ne sont pas différentes de la mienne
Vous tremblez toujours pour votre famille
J’avais vingt ans en quatre-vingt-douze
Lorsque l’argent perdait sa valeur
Lorsqu’il fallait une tonne de flouze
Pour acheter une demi livre de beurre
J’ai vu des gens jetés à la rue
Pour quelques centaines de francs
Toute une vie de travail perdue
Volée par les vautours de l’argent
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos valeurs ne sont pas différentes de la mienne
Et le manque d’argent continue à vous bouffer la vie
J’ai vingt aujourd’hui et je regarde autour de moi
Ce que m’ont légué mes parents et je tremble d’effroi
Depuis les haines engrangées jusqu’à la planète qui agonise
Depuis les libertés violées jusqu’aux vendeurs de terre promise
Tout un décor d’Apocalypse que l’on me donne à gérer
J’ai vingt ans et il ne me reste plus de larmes pour pleurer
Juste une haine profonde et une rage incontrôlée
Pour la connerie qui régit ce monde et ces débiles pour qui on a voté
J’ai vingt ans et je te regarde
Toi, la lumière de ma vie
Et soudain tout se lézarde
Et me voilà au paradis
Plus de haines, plus de soucis
Plus de pollution, plus d’ennuis
Plus de religions pour bâtir des murs
Juste Toi, moi et l’amour.
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos passions ne sont pas différentes de la mienne
Mais je me fous de vos lois de brebis
C’est ma vie et la sienne
C’est celle que j’ai choisie
Alors quand bien même
Elle ne corresponde pas à vos thèmes
C’est comme cela que je l’aime…….
Et me passerai de vos avis
On libérait l’Europe de la barbarie nazie
Ouvrez les yeux et regardez mieux
Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ?
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Votre guerre n’est pas différente de la mienne
Tâchez juste de ne pas vous tromper d’ennemi
J’avais vingt ans en cinquante six
Lorsque chez la Louve on bâtissait un pays
Nous voilà un demi-siècle plus tard,
Et je constate que vous n’avez pas compris
Ce que voulaient ces vénérables vieillards
Lorsqu’ils mettaient leur idéal par écrit
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Votre époque n’est pas différente de la mienne
Vous regardez toujours l’étranger avec mépris
J’avais vingt ans en soixante-huit
Lorsque je fis trembler Paris
De ma jeunesse et de cette rage induite
Par ceux qui gouvernaient le pays
On voulait la liberté de pouvoir enfin vivre
La République a tôt fait de museler
Celui qui par amour de l’autre vibre
Afin que ses valeurs ne viennent à basculer
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos morales ne sont pas différentes de la mienne
Mais vous continuez à vous créer des ennuis
J’avais vingt ans en quatre-vingt-neuf
Lorsqu’on lézarda la honte du mur
Pour un avenir radieux et neuf
Pour que les peuples connaissent l’amour
Finies les peurs de la bombe
L’humanité pouvait respirer
Mais des sournois agissaient dans l’ombre
Pour la terreur partout distiller
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos peurs ne sont pas différentes de la mienne
Vous tremblez toujours pour votre famille
J’avais vingt ans en quatre-vingt-douze
Lorsque l’argent perdait sa valeur
Lorsqu’il fallait une tonne de flouze
Pour acheter une demi livre de beurre
J’ai vu des gens jetés à la rue
Pour quelques centaines de francs
Toute une vie de travail perdue
Volée par les vautours de l’argent
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos valeurs ne sont pas différentes de la mienne
Et le manque d’argent continue à vous bouffer la vie
J’ai vingt aujourd’hui et je regarde autour de moi
Ce que m’ont légué mes parents et je tremble d’effroi
Depuis les haines engrangées jusqu’à la planète qui agonise
Depuis les libertés violées jusqu’aux vendeurs de terre promise
Tout un décor d’Apocalypse que l’on me donne à gérer
J’ai vingt ans et il ne me reste plus de larmes pour pleurer
Juste une haine profonde et une rage incontrôlée
Pour la connerie qui régit ce monde et ces débiles pour qui on a voté
J’ai vingt ans et je te regarde
Toi, la lumière de ma vie
Et soudain tout se lézarde
Et me voilà au paradis
Plus de haines, plus de soucis
Plus de pollution, plus d’ennuis
Plus de religions pour bâtir des murs
Juste Toi, moi et l’amour.
Vous en êtes toujours à comparer vos haines
Vos différences, vos préférences, vos soucis
Vos passions ne sont pas différentes de la mienne
Mais je me fous de vos lois de brebis
C’est ma vie et la sienne
C’est celle que j’ai choisie
Alors quand bien même
Elle ne corresponde pas à vos thèmes
C’est comme cela que je l’aime…….
Et me passerai de vos avis
Je t'aime ma fidèle femme Aurore
Commentaires
bonsoir , j'espère que tu as passé un bon week end et que tu vas bien? passe une bonne soirée , bisous mon ange